En traversant ma forêt noire,
caisses, bougies, larmes,
j’ai secoué la misère.
J’ai troué, j’ai pioché, j’ai serré,
le désespoir au pieds du mur.
J’ai côtoyé le passé.
En traversant ma forêt noire,
caisses, bougies, larmes,
j’ai secoué la misère.
J’ai troué, j’ai pioché, j’ai serré,
le désespoir au pieds du mur.
J’ai côtoyé le passé.